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Présentation de l'auteur

Je suis un homme de 64 ans à la retraite depuis deux ans, père avec ma première compagne d'une fille et d'un garçon, père de deux filles avec ma seconde compagne, grand-père de trois petites filles et de trois petits garçons.

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Parcours professionnel : à 17 ans avec un CAP de comptabilité en poche, je vais travailler pendant dix ans comme employé de bureau dans la sidérurgie lorraine et fus délégué syndical membre du CE de Sacilor la dernière année. Pendant ces dix années à côté de mon emploi fixe j'ai créé une entreprise artisanale de lavage de vitre, j'ai été commercial dans différents domaines et j'ai aussi fait un élevage de lapins pendant trois ans (environs 500 lapins dans l'élevage par roulement). Cette expérience m'a beaucoup appris car il fallait produire, entretenir, élever, commercialiser et gérer. J'ai arrêté cette activité car si l'on veut faire les choses vraiment bien dans cette production cela demande une somme trop importante de travail pour une activité annexe. En 1979, la sidérurgie dégraissant ses effectifs, je me suis dirigé vers la vente de maisons individuelles.

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Après trois années passées chez les deux leaders de ce marché pour apprendre le métier, par un enchaînement providentiel je crée mon entreprise « MAISONS GÉRARD D'HOMÉCOURT », que je revends au bout de huit ans après une ascension sociale fulgurante : je suis millionnaire en euros. Parallèlement j'ai créé la « SARL GÉRARD BÂTIMENT » dont j'étais le gérant.

À l'âge de 38 ans, je m'installe dans le sud-ouest et me lance comme éleveur de chevaux de sport et cavalier amateur de concours hippique en national 2. Le dressage des chevaux de sang demande de grandes qualités pour obtenir des résultats probants.

La soumission totale de cet animal semi sauvage, pour pouvoir l'utiliser sans danger pour le cavalier et dans le bien-être du cheval, est indispensable et ne s'obtient que grâce à une complicité mise en place par l'éducation qui s'appuie sur les récompenses et sur la fermeté. Pendant quinze ans je montais tous les jours à cheval, ce fut mon équilibre. Durant cette période de grande liberté et d'aisance financière, j'ai pas mal déménagé : du manoir de La Mespoule dans le Lot et Garonne jusqu'au Point du jour dans l'Allier.

J'ai été propriétaire seize fois. J’ai vécu en Aquitaine, en Auvergne, en Poitou-Charentes, en Ile de France, en Bourgogne et en Lorraine.

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A 50 ans, nouveau changement de cap.

Ayant fait le tour dans le monde du cheval, je fus attiré par une nouvelle expérience : le monde des casinos. L'enfer du jeu est dangereux car pour certains cela devient vite une addiction, je vous le confirme. Les premières années, j'ai passé de formidables moments grâce à de nouvelles connaissances qui se font très vite à une table de roulette (je n'ai été que joueur de roulette).

Je suis allé dans tous les plus grands casinos français de Monaco à Deauville en passant par Enghien, Toulouse et une centaine d'autres.

 

Aujourd'hui en 2016 je dispose d'une maigre retraite vu un manque de trimestres dû à ma vie d'autodidacte et de liberté.

Cependant cette vie peu banale et riche d'expériences diverses et multiples, a fait naître dans mon esprit des convictions que je me sens en devoir de partager. Les réussites que j'ai eu avec mes entreprises et qui mériteraient peut-être un ouvrage spécifique me poussent indéniablement à délivrer un message d'espoir pour l'humanité, car tout est là pour créer un contexte mondial profitable à tous les terriens. Nous disposons des connaissances, des techniques et des capacités nécessaires pour que plus un humain ne vive dans des conditions atroces d'insalubrité, de faim et d'insécurité.

Il suffit pour cela d'une gouvernance mondiale qui tout simplement respecte l'environnement ainsi que les droits de l'homme et des animaux.

LA SIMPLE SUPPRESSION DE TOUS LES MILLIARDAIRES ET LA LIMITATION AU STRICT MINIMUM DE L'INDUSTRIE DE L'ARMEMENT suffiraient financièrement à établir tous les programmes nécessaires pour éradiquer la pauvreté extrême et la misère sur toute la planète. Il ne reste qu'à obliger les dirigeants politiques à appliquer ces mesures qui permettraient une évolution positive et pacifiste de l’humanité. Trois fois rien, mais à priori ce n'est pas gagné, car ces crapules politiciennes acoquinées aux religions et surtout aux possesseurs de richesses font tout pour garder leurs privilèges indécents qui ne sont plus acceptables aujourd'hui.

 

Et pourtant je vous garantis qu'une révolution pacifique est possible pour changer la donne. Persuader des imbéciles, des cons, des ignorants et des peureux, de rejoindre ceux qui ont compris les enjeux, afin de dégager une forte majorité, voilà une tâche ardue. Bien que ce soit de toute évidence leur intérêt et celui des peuples en général.

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